Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

blé de noël

  • Il est temps de

    Il est temps
    De piquer une orange de clous de girofle
    pour que son parfum embaume la maison
    D’installer un nouveau bulbe d’amaryllis
    car on a donné l’autre à quelqu’un qui l’a trouvé trop joli et n’en avait pas
    De remplacer les jacinthes fanées par de nouvelles, des bleues cette fois-ci
    (les bulbes des fleurs fanées seront apportés dans un jardin ami où ils seront plantés)
    D’organiser une après-midi « couronnes de Noël »
    après avoir prévu l’après-midi cueillette de feuillage dans la colline
    De planter le blé de Noël
    De couver du regard le cactus de Noël dont les boutons sont bien lisses et renflés
    – c’est une tactique qui fonctionne très bien pour ne pas rater l’éclosion de la première fleur
    De préparer quelques shortbreads pour le thé
    car il s’est agi cette après-midi-là de se réunir entre pâtissières
    afin de discuter des différentes recettes de biscuits
    et de proposer un roulement pour le prêt des empreintes.

  • Ste Barbe, récolte, érable de Montpellier.


    Plantation : Le 4 décembre, il est d’usage ici de planter le blé de Noël. Dans une coupelle ou dans le fond d’un verre assez large, poser du coton bien imbibé d’eau puis les grains de blé qu’il faudra humidifier légèrement chaque jour. Les grains vont germer, pousser et, à Noël, ils seront bien verts et assez hauts pour être posés sur la table, en signe d’abondance pour l’année à venir. Après l’Epiphanie, ceux qui ont de la terre le planteront. C’est une jolie tradition, simple et si symbolique.

    Récolte : Fenouils, blettes et une courge.

    Rencontre : Sur le chemin du col de Garde, un érable flamboyant sur le bord du chemin qui serpente dans la forêt. En s’approchant, on remarque chacune des feuilles à trois lobes, orange et tachetées de rouge qu’on vient tenir entre les doigts pour mieux les admirer. L’arbre est à hauteur d’homme. On se tient bien droit devant lui. Est-ce un érable à feuille d’obier ? Ou plutôt un érable de Montpellier ? La petitesse des feuilles fait plutôt pencher pour l’érable de Montpellier. On le salue bien bas pour sa magnificence.