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coucou c'est nous

  • Chapeau !

    A Pin Rolland, croiser une dame qui a le même chapeau. S’arrêter, lui dire bonjour et, en pointant alternativement les deux chapeaux, lui faire remarquer que nous avons le même. « Ah, mais oui ! », s’exclame-t-elle. Préciser que c'est la première fois qu'on rencontre quelqu'un qui porte ce genre de chapeau. Elle répond: "Mais pareil pour moi !". S’ensuit un court papotage : les qualités de ce couvre-chef tout blanc, son côté pratique quand il y a du vent avec l'attache comme une bretelle. La dame poursuit en indiquant qu'elle l'a trouvé sur un marché, à un vendeur qui avait un stand magnifique alors qu'on l'a pris, comme tous les chapeaux qu'on a, au magasin Coucou c'est nous de Sanary. L'une et l'autre, on en a un deuxième et, somme toute, on ne peut plus s'en passer. Puis on se quitte en se disant au revoir et certainement à bientôt car c'est si agréable de se promener le matin à la fraîche.


  • Moisson.

    S'arrêter au début de l’avenue toute bordée de tilleuls en pleine floraison, sans craindre de prendre le risque d’un retard de quelques minutes. On expliquera qu’on a pris le temps, sous les frondaisons, de respirer ce doux parfum.
    Nager.
    Lire Les tendres plaintes, de Yôko Ogawa.
    Lire Grossir le ciel, de Franck Bouysse dont la qualité de l’écriture rappelle Georges Simenon.
    Admirer les premières fleurs de l’ipomée.
    Recevoir en cadeau plusieurs magazines de tricot.
    Acheter un nouveau chapeau à Coucou c’est nous, à Sanary.
    Remarquer les premières belles-de-nuit en fleurs le long de la Corniche : elles sont fuchsia. Un peu plus loin, constater que les agapanthes sont écloses aussi. Elles sont bleu lavande clair.
    Faire des tomates à la provençale.
    Prévoir de faire prochainement un farci.