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elsa boublil

  • Moisson.

    Commencer la distribution des pots de confiture en rappelant qu’il faut rendre les pots vides. En effet, on est en panne de pots vides. C’est pourquoi on passe chez une vieille amie pour lui en demander ; on la suit dans sa réserve où s’alignent des pots de confitures de fraise, d’abricot, de melon, de gelée de pommes ou de coings destinés à ses enfants et petits-enfants ; une étagère est vide : tous les pots viennent de partir pour le Téléthon ; en bas, les pots vides parmi lesquels on peut choisir.
    Racheter Feuilles d’herbes, de Walt Whitman.
    Dans une salle d’attente, poursuivre la lecture des dernières aventures de Nicolas Le Floch, Le prince de Cochinchine, et entamer la conversation avec une dame elle aussi passionnée par cette série historique et policière.
    Brosser les chats.
    Ecouter le joyeux Frédéric Lodéon, invité de l’émission Musique Emoi d’Elsa Boublil sur France Musiques. Il cite Charles Munch (Il faut vivre comme si on allait mourir demain mais travailler comme si on allait vivre toujours), qui en fait citait Gandhi : Vis comme si tu devais mourir demain…. Apprends comme si tu devais vivre toujours.
    Faire un gâteau parfumé à la fleur d'oranger pour des amis précieux.





  • La question du lundi : à propos de l’échec.

    Comme souvent le dimanche matin, vient le temps du repassage qu'on fait en écoutant l’émission d’Elsa Boublil sur France Musiques, Musique Emoi. Hier, Kad Merad était l’invité et il a cité Mandela pour démarrer l’émission : « Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j’apprends. »
    En alternant coups de fer, pause (car, quand même, il est lourd, ce fer), écoute de l’émission, on a réfléchi à cette phrase à propos de l’échec et, finalement pour Mandela, de son inexistence. Puis quand on est parti déjeuner sur le joli port de St Mandrier inondé de soleil. Puis après le retour dans le calme de la fin du jour.
    Il est fort possible qu’on ait déjà entendu cette phrase mais elle a pris plus de sens ce jour-là, sans doute parce qu’on était plus en capacité de se dire qu’on a déjà beaucoup appris, et qu’on continuera à apprendre ; gagner, c’est moins sûr.

    Et vous, qu’en pensez-vous ?