Le matin, deuxième lecture de Faire face à la perversion, le dernier livre de Lytta Basset, théologienne qu’on lit depuis des années et dont le sous-titre est : Des ressources spirituelles inattendues, en alternance avec Je ne reverrai plus le monde, d’Ahmet Altan, ouvrage qui rassemblent les textes de prison de ce journaliste turc.
Dans le sac à main, le journal quotidien et le Nouveau Testament.
Le soir, Journal de mon jardin, de Vita Sackville-West qui parle des plantes comme si elles étaient des personnes et converse donc tout naturellement avec elles. C’est un ouvrage plein d’humour, de joie, de ténacité et de fleurs : « On m’a demandé : « Quelle est votre fleur préférée ? » La réponse se devine d’elle-même : « Toutes les fleurs, chacune leur tour, au moment de la floraison. »
faire face à la perversion
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Livres du matin / du sac à main / du soir.
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Livres du matin / du sac à main / du soir.
Le matin, Faire face à la perversion, le dernier livre de Lytta Basset, théologienne qu’on lit depuis des années et dont le sous-titre est : Des ressources spirituelles inattendues.
Dans le sac à main, le journal quotidien et le Nouveau Testament.
Le soir, Je reste roi de mes chagrins, de Philippe Forrest qui porte en exergue cette citation de Georges Bataille : « Seul m’entend celui dont le cœur est blessé d’une incurable blessure, telle que jamais nul n’en voulut guérir », en alternance avec Les étoiles s’éteignent à l’aube, de Richard Wagamese, dont la première phrase est : « Il fit sortir la vieille jument de l’enclos et la mena jusqu’au portail qui donnait sur le champ. »