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frédéric chopin

  • Au concert.


    Aller au concert.
    Habitude depuis des décennies, plaisir depuis des décennies.
    Ecouter la musique au moment même où elle naît des mains ou de la voix d’un artiste. Elle est alors vivante.
    Comme hier soir dans le magnifique Fort Balaguier où Daisuke Yagi a joué Chopin et Schumann.
    Ces derniers ont-ils pensé qu’un jour, un jeune pianiste japonais de vingt ans, frêle en apparence mais fort des émotions qui l’habitent, serait ainsi comme leur double pour que toutes ces notes accèdent aux sons qui les font être ?
    Effacement des siècles et des nations qui finalement importent peu au regard de ce que des êtres humains ressentent quand tout est splendide au point de communier ensemble devant la beauté.

  • A Tamaris.


    Après une petite promenade sous les pins de Tamaris, s’asseoir près du Fort Balaguier et rester là à regarder la mer. Tout à coup, penser à George Sand et Frédéric Chopin. Comme on était allé sur leurs traces il y a des décennies maintenant au Caffé Florian à Venise, on se trouve encore une fois dans leur sillage.
    Quand on aura fini la relecture de Virginia Woolf, qui prend beaucoup beaucoup plus de temps que prévu, on fera une année avec George Sand. Voilà pour la lecture.
    Quant à la musique, c’est décidé de passer l’année avec Chopin. On commence avec l’intégrale des Nocturnes, dans la belle interprétation de Brigitte Engerer.