Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

gâteau basque

  • Moisson.

    Etre attendue quelque part.
    Marcher des kilomètres le long de la plage, dans un sens et puis dans l’autre.
    Se baigner et jouer dans les vagues.
    Manger de la morue en plat principal et, en dessert, du gâteau basque à la confiture de cerises.
    Au Jardin public, retrouver le marchand de miel d’Itxassou et lui prendre deux pots de miel de tournesol, bien jaune, bien crémeux.
    Sur le pain de maïs, mettre du miel de tournesol.
    Partir marcher malgré l’Enbata qui s’annonce. Bien enfoncer son chapeau sur la tête pour se protéger, un peu, du sable. Continuer sans fléchir. Marcher jusqu’à ce que la pluie commence et alors enlever le chapeau : quelques épaisses gouttes de pluie éparses, puis plus nombreuses, puis le tonnerre, puis l’orage, puis les cheveux mouillés, puis le visage offert au vent et à la pluie.
    Etre ensemble.
    Etre attendue quelque part.



  • Moisson.

    Regarder par la fenêtre pour savoir si la marée est basse ou haute.
    Allez chercher un gâteau basque à la cerise chez anciennement Alonso.
    Faire le marché à Sokoburu.
    Passer le pont pour faire trois courses.
    Faire la plage dans un sens puis dans l’autre.
    Marcher le long de la baie de Chingudy en se retournant de temps en temps pour regarder les Trois Couronnes ou la Rhune, c’est selon.
    Choisir quelques petits bouquets d’œillets.
    Regarder le ciel.
    Ecouter le silence au sommet du Jaizquibel.
    Se poser un instant à Socorri ; admirer une fleur sortie de terre au pied d’un arbre. Est-ce un colchique ou un petit crocus ? Elle en a la couleur, parme.
    Ramasser une feuille de chêne à St Martial pour se souvenir.