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pommes au four

  • Parfums, en train.


    Parfums : Remplir la maison de parfums : la cire sur les meubles, les pommes dans le four, la lavande dans le sachet qu’on est en train de coudre.

    En train : Petit voyage en train qui donne l’occasion de faire une belle liste de ceux à qui on a parlé dans la journée et d’admirer encore et encore la mer ensoleillée. Et puis se réjouir d’avoir pris le TER plutôt que le TGV car c’est aussi l’occasion d’égrener les noms des gares et de laisser les souvenirs se hisser aussi hauts que la lumière du jour, celle qui oblige à mettre la main en visière au-dessus des yeux car il serait dommage de baisser le pare-soleil.

  • Brassens, cyclamen et bruyère, recette des pommes au four.

    Ecouter Brassens. Chanter Brassens. Centenaire de sa naissance. Eternité de ses chansons.

    Installer un cyclamen rose pâle sur le rebord de la fenêtre près d’une bruyère dont les teintes violines toujours émeuvent.

    Préparer de nouveau des pommes au four : dans le plat en verre ovale, déposer quelques tranches de pain de mie qu’on aura pris la précaution d’aller chercher chez le boulanger qu’on connaît. Déposer sur chaque tranche une pomme ; le mieux, c’est la Reine des reinettes sinon une bonne grosse Canada grise est parfaite aussi. On aura au préalable évidé chaque pomme, déposé au cœur du fruit un fond de miel de châtaigne ou de bruyère, ou du moins un miel un peu fort, ainsi qu’une lichette de beurre (celle qui faisait des pommes au four divinement adorait le beurre, le beurre fermier, jaune, qui transpirait et qu’elle aimait prendre à la motte chez le crémier – sa notion de « lichette de beurre » était très personnelle). Mettre le plat au four et laisser cuire gentiment le temps qu’il faut soit à peu près trente minutes, avec un thermostat qui va de 200° pour les dix premières minutes à 180 pour le temps restant.