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Bonheur du jour

  • Des bibliothèques et des bibliothécaires.

    Je ne dirai jamais assez ma vénération des bibliothèques et des bibliothécaires, des librairies et des libraires.
    Ainsi, l’autre jour, après avoir traversé la rade en bateau, remonté le cours Lafayette et fait quelques emplettes au marché (coriandre, basilic, tapenade et jolis gerberas), je me suis arrêtée à la médiathèque Chalucet (Toulon), pour rendre quelques livres (biographie de Marguerite Yourcenar par Henriette Levillain, Œuvres complètes de Virgile en édition La Pléiade, « Je marche donc je pense » de Roger Pol-Droit), et emprunter « Les sept divinités du bonheur » de Keigo Higashino, réservé depuis quelques temps. Je dois continuer à attendre pour « Avec les fées », de Sylvain Tesson : il y a encore trois personnes avant moi. J’ai tout mon temps car il y a toujours à lire, n’est-ce pas ? Lire, c’est ce que j’ai fait en attendant ensuite mon tour pour renouveler mon inscription car devant moi, une famille entière s’inscrivait. N’habitant pas Toulon (l’inscription est gratuite pour les Toulonnais), ma participation est de 10 euros pour l’année.
    Puis, j’ai tranquillement marché jusqu’à la médiathèque du Pont du Las pour récupérer « Les ombres de Bombay », d’Abir Mukherjee. Ce dernier livre vient de paraître. J’en avais parlé avec la bibliothécaire avant même sa publication et elle l’avait non seulement inscrit sur la liste des prochaines commandes, mais m’avait promis de me mettre en premier sur la liste des réservations. Chose faite, ce dont je l’ai chaleureusement remerciée !
    En tenant sous le bras ce livre qui me mènera dans l’Inde des années 1920 pendant quelques bonnes soirées, j’ai demandé s’il était prévu que la médiathèque achète « Le couteau », de Salman Rushdie. La bibliothécaire vérifie les commandes en cours et m’assure qu’il le sera aussi dans cette médiathèque (les médiathèques de Toulon sont en réseau), me faisant remplir le cahier de suggestions.
    Et de papoter sur Salman Rushdie, sur la littérature, sur Paul Auster, sur les livres, sur le calme aussi qui règne dans ce lieu préservé.
    Je suis rentrée en ayant dans mon panier de la nourriture, des fleurs et des livres.

  • 8ème recension de « Ma vie était un fusil chargé », vert d’Espérance.

    8ème recension de Ma vie était un fusil chargé sur le blog A Sauts et A Gambades. Cette recension se fera en plusieurs publications, ce qui est très original ! Un grand merci !

    Vert d’Espérance : Au pied du Coudon, les vignes s’épanouissent. Leurs feuilles sont de ce vert d’Espérance qui parle du printemps et de ce que la vie peut être forte, en dépit du froid, de la pluie, du ciel gris et de ce que notre monde peut avoir de si cruel parfois. Voilà pourquoi, on profite de l’arrêt du car pour descendre contempler ces feuilles palpitantes, le temps que le car suivant arrive.