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  • La question du lundi. En francs.


    En période de pénurie d’élastique pour coudre des masques en tissu, il est bon de connaître plusieurs couturières car tout le monde sait que chaque couturière a toujours sa petite mercerie personnelle dans laquelle puiser ce qui, justement, manque : la bobine de fil de la couleur qu’on cherche (on a toujours des tas de bobines de fil mais jamais la bonne couleur…), la laine à repriser ni trop épaisse ni trop fine qui ira bien pour raccommoder un pull en laine auquel on tient, des boutons pressions du bon diamètre, la fermeture éclair de la bonne longueur et de la bonne couleur ou encore … de l’élastique. On a eu la chance d’avoir accès à la mercerie personnelle d’une couturière partie depuis un moment coudre des vêtements aux anges ou réparer les accrocs qu’ils font de temps en temps à leurs ailes. Sa fille a tout gardé. On ne sait jamais. Ça peut servir. Et on a trouvé là 80 cm de tissé élastique souple spécial pour sous-pieds de pantalon de ski, dans son blister d’origine, donc neuf, de la marque Pecam, qui coûtait 21, 80 Francs.

    D’où la question du lundi : Vous reste-t-il encore des produits, quels qu’ils soient, datant de l’époque du franc, et encore neufs et que vous gardez au cas où car ça peut toujours servir ?

  • Moisson.


    A la Coopérative agricole de Six Fours, à défaut de coriandre (toute la livraison est partie en un temps record), choisir dans le grand bac qui les accueille un bouquet de pivoines corail en provenance directe de Hyères. A la maison, les mettre dans le vase bleu ramené d’Italie un été.
    Organiser un petit atelier « masques » - en respectant les gestes barrières, bien sûr.
    Faire deux pains bien dodus. En donner un à l’épicière qui livre désormais les légumes chaque semaine.
    Prendre rendez-vous chez la coiffeuse.