Ma vie dans les monts, d’Antoine Marcel, fut le livre de quelques matins ces derniers jours. Le lire une première fois, d’une traite quasiment. Le relire ensuite plus tranquillement, en prenant le temps de cocher quelques phrases, de rechercher les poèmes des poètes chinois cités par l’auteur (Bashô, Issa, Buson, Shiki), de continuer à réfléchir à la philosophie zen.
C’était bien de rester ainsi dans le silence et de revenir, comme dit l’auteur lui-même, vers « les espaces de l’intériorité ». Et bien sûr il évoque Jacques Brosse, l’auteur de Le bonheur-du-jour et Mythologie des arbres.
A lire prochainement : Traité de la cabane solitaire.
Bonheur du jour - Page 641
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En silence.
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La question du lundi : Never give up.
Ecouter, sur France Musique, la création mondiale d’un concerto pour violoncelle de Fazil Say, Never give up, avec au violoncelle solo Camille Thomas.
Ne renoncez jamais.
La musique est belle ; elle entraîne dans les méandres de notre monde cruel et violent pour se terminer par des chants d'oiseaux.
Le titre de ce concerto signifie qu’il y a des choses auxquelles il ne faut jamais renoncer, en dépit de tout : la liberté, la paix, la culture, sans oublier, la beauté.
Qu’en pensez-vous ? A quoi faut-il, d’après vous, ne jamais renoncer ?