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doucette

  • Au marché.

    De loin, repérer les bans des producteurs locaux. S'avancer, dire bonjour et remplir le panier des légumes qu’on aime : poireaux, pommes de terre, courge, pour la soupe ; blettes et épinards ; fenouils et cébettes ; un peu de cardes qu’on accompagnera de poisson dans la semaine ; doucette et rougette ; et même deux courgettes, bien qu’elles soient nées sous serre mais on a envie d’en faire une salade après les avoir découpées en tagliatelles – et on y ajoutera des olives.
    Chez l’Italien, de la mozzarella di buffala et de la burrata.
    A la fabrique de pâtes, des gnocchis de semoule et d’autres de pommes de terre.
    Et chez Rose, la fleuriste (oui, elle s’appelle Rose….), se laisser tenter par un joli bouquet d’anémones après avoir discuté des jacinthes prises l’autre jour dont le parfum embaume le bureau sur lequel on les a posées. Et Rose d’ajouter : « Et oui, ça tient bien compagnie, les jacinthes. »


  • Au marché paysan.

    Aller au marché des paysans à Ollioules car il va falloir des victuailles pour le week end.
    Choisir des haricots verts somptueux, la première botte de blettes, des carottes fanes et des fenouils (on aime bien les associer), de la courge (un bon morceau, pour faire un gratin), des courgettes, du persil, du basilic et de la ciboulette, de la doucette, des petits fromages de chèvre immaculés, des pommes et des poires pour une belle tarte, des figues aux larges formes douces, mais aussi quelques cyclamens qu’on dispose dans la caissette bleue pour pouvoir les transporter sans les abîmer : un blanc, un rose clair, un rose foncé, un violet, un rouge.