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par la force des arbres

  • Vivre simplement, troc, été.


    Par la force des arbres : Une dernière citation de ce joli livre avant de le rendre à la Médiathèque de Sanary-sur-mer : « Savoir vivre simplement n’est pas pour moi jouir d’une meilleure qualité de vie ou consommer moins, c’est d’abord apprendre à posséder mieux. La sobriété que je poursuis serait de parvenir à ne rien posséder qui me possède. Même volontaire, je ne connais rien de plus compliqué à atteindre qu’une vraie simplicité. » (1)

    Troc : Pommes de terre contre haricots verts ; courgettes contre un joli bouquet d’oseille qui sera cuisiné en omelette avec des œufs dont on connait bien les si gentilles pondeuses.

    Eté : Le blog prend son rythme d’été. Il y aura deux publications par semaine, le lundi et le jeudi. Parce que c’est le temps des vacances et, surtout, parce que c’est le temps de l’écriture. Donc, à jeudi !




    (1) Edouard Cortès, Par la force des arbres, Ed. Equateurs, 2020, pp. 108/109

  • Sanary, le Bureau des Affaires occultes, trouver le silence.


    Sanary : Promenade de très bonne heure dans les allées du grand marché ; un café sur le port ; à la médiathèque, réserver le tome 3 du « Bureau des Affaires occultes », d’Eric Fouassier, qui n’est pas encore équipé mais il y a de fortes chances pour qu’on puisse le lire au plus vite.

    Par la force des arbres : Vraiment, un très joli livre qui fait réfléchir. L’auteur, à la suite d’un désastre professionnel qui l’a complètement ébranlé, va vivre un printemps dans un arbre. Il y tient un journal et fait le point. « J’ai trouvé un confin favorable à l’intériorité. J’ai marché parfois si loin pour trouver le silence. Il est là, en moi, dans ces bosquets. » (1)
    J’ai choisi ce passage car depuis de nombreuses années maintenant le silence est en moi et je suis toujours heureuse quand je sens que quelqu’un est enfin apaisé.




    (1) Edouard Cortès, Par la force des arbres, Ed. Equateurs, 2020, p. 67