En marchant dans la forêt, on a pris un petit chemin comme ça, sans savoir où il allait. Sa trace fine entre les touffes d’herbe était invitante. Il a serpenté, monté, descendu, monté encore, se faufilant entre des arbres au feuillage encore neuf. Un arbre allongé a donné envie de s’y asseoir. C’est alors qu’on a entendu le cliquetis chantant d’une petite sourcette chantante. Une eau passait par là. C’était tout à côté. Oui, là ! Sortant de terre, elle s’écoulait tranquillement. Comme le chemin qu’on avait pris, elle serpentait entre les feuilles. Tout était tranquille dans la forêt mais ce son de l’eau cheminant a rendu le lieu encore plus calme, plus ressourçant encore et même, plus silencieux. Et on était venu chercher le silence.
D’où la question du lundi : Remarquez-vous de temps quelque bruit tranquille qui accentue la sensation de calme ?
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Pouvoir faire au mieux avec les petits moyens qu’on a.
En pensant à la baleine échouée sur une plage des Landes et dont le ventre contenait 16 kg de plastique, décider d’aller encore plus loin dans la limitation de l’usage de ce plastique.
Déjà, depuis longtemps,
- on fait les courses avec plusieurs sacs en tissu et bocaux en verre
- on n’achète plus de bouteilles d’eau en plastique
- on n’utilise plus de lessive en capsules
- on n’utilise plus de film plastique pour emballer des restes
- on n’achète plus de fromage râpé tout prêt en sachet mais un morceau, au rayon fromagerie, qu’on râpera à la maison
- on limite l’achat de ce qui est emballé dans du plastique et qu’on trouve généralement au rayon « frais », par exemple on choisit les yaourts (on en consomme très peu) dans des pots en verre, on n’achète jamais des pommes ou du concombre ou des endives, sous film plastique.
Mais quand même, du plastique, on en utilise…
Maintenant, on va tenter de trouver une solution
- pour la mozzarella, présentée toujours dans un contenant en plastique, soit sachet, soit pot, pour la fêta, toujours sous film plastique, pour le fromage blanc dans son pot en plastique
- pour le papier toilette, certains paquets de pâtes alimentaires emballés sous film plastique
Bref, on se lance dans l’opération baleine. Il faut dire qu’en plus on vient de lire Réparons le monde, de Corinne Pelluchon. Hop ! on retrousse les manches pour faire au mieux avec les petits moyens qu’on a.