Encore de la couleur : A Fabregas, le vert du pré en lisière de la forêt tout tacheté du bleu de la bourrache.
Aimer quand même : Quel dommage, toutes ces personnes incapables de se réjouir du bonheur des autres et tout autant incapables de dire un mot gentil si on leur donne une mauvaise nouvelle ! Ils sont tellement limités par eux-mêmes et se mettent alors à ne parler que d’eux, commençant systématiquement par « Moi, je… ». Cela fait du bien se sentir qu’on les aime quand même puisque désormais les sources de la rancœur sont taries.
A lundi !
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Encore de la couleur, bourrache, les sources de la rancœur sont taries.
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Myosotis, Mozart, Fabregas un jour de grand vent.
Minuscule : Les myosotis qui ont poussé dans la cour, sur les côtés, là, au pied du mur, où il y a à peine de la terre. Comment sont-ils arrivés là ?
Musique : Mozart, Sonates n°2, K280, n°7, K 309 et n°6, K 284. Sonates : qui sonne. Comme les oiseaux, le matin, sonnent l’arrivée du jour. Il en reste encore quelques-unes à écouter.
Ciel : Dans l’anse de Fabregas, en ce jour de si grand vent où seuls les pins, peut-être, ne s’envoleront pas car ils en ont vu d’autres, sentir en soi l’incommensurabilité du ciel.