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bourrache

  • Cousettes, troc, bourrache.


    Cousettes : Le club des cousettes se transforme au fur et à mesure de l’après-midi, en club de lectures. Stefànnson, Camus, Pia Pera, Carol Fives, Orwell, Abir Mukherjee… Et la discussion continue tout en se régalant d’une tarte tatin et d’un bon thé. Pendant ce temps, au dehors, le vent souffle tout autour du mûrier platane dont les rameaux commencent à pousser au point de les aplatir et de les étirer en tout sens. Mais, ayant décidé d'offrir l'été prochain une ombre bienfaisante, ils ne cèdent en rien aux bourrasques qui voudraient bien les entraîner au-delà de la clôture.

    Troc : Amandes contre biographie de Tchekhov.

    Bourrache : Croiser une belle bourrache dont les fleurs sont si belles qu’on n’ose même pas en cueillir une, bien qu’on sache qu’elle serait délicieuse. Non : les laisser pour qu’un autre passant puisse les admirer ; les laisser pour qu’elles soient là, tout simplement, si bleues, si étoilées, si belles.

  • Encore de la couleur, bourrache, les sources de la rancœur sont taries.


    Encore de la couleur : A Fabregas, le vert du pré en lisière de la forêt tout tacheté du bleu de la bourrache.

    Aimer quand même : Quel dommage, toutes ces personnes incapables de se réjouir du bonheur des autres et tout autant incapables de dire un mot gentil si on leur donne une mauvaise nouvelle ! Ils sont tellement limités par eux-mêmes et se mettent alors à ne parler que d’eux, commençant systématiquement par « Moi, je… ». Cela fait du bien se sentir qu’on les aime quand même puisque désormais les sources de la rancœur sont taries.

    A lundi !