En relisant Patrice de la Tour du Pin, retrouver ce vers :
« Il suffit d’être. »
Ce poète rappelle qu’on doit vivre en étant simplement vivant.
Cela va dans le sens de ce qu’on est en train de lire dans A l’écart, d’André Bucher.
« Ne devrait-on pas en priorité, se soucier d’apprendre ce que l’on sait, cultiver, approfondir ce que l’on possède de mieux en soi, plutôt que se débattre et se perdre dans ce que l’on ne sait pas ? »
à l'écart
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Il suffit d’être.
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Livre du matin / livre du sac à main / livre du soir.
Le matin, Jacques Tassin, Penser comme un arbre (On le relit pour la troisième fois de suite tellement ce livre est riche) en alternance avec A l’écart, d’André Bucher qu’on lira plusieurs fois certainement aussi.
Dans le sac à main, Pedro Salinas, La mer lumière.
Le soir, Ragnar Jonasson, Snjor, qu’on a fini par racheter car, sans l’avoir lu, on l’a prêté à quelqu’un, qui l’a prêté à quelqu’un qui l’a prêté à quelqu’un qui l’a prêté à quelqu’un et on ne sait plus du tout à qui on l’a prêté finalement.