Le matin, après avoir relu deux fois Des âmes et des saisons, de Boris Cyrulnik, commencer enfin Ci-gît l’amer, de Cynthia Fleury, réservé depuis belle lurette à la médiathèque Chalucet, mais la file d’attente était longue. On avait entendu cette philosophe psychanalyste en parler un jour, évoquer ce qu’on croit soi-même parce que c'est ce qu'on a pu faire : ne plus être dans le ressentiment pour enfin avancer et vivre.
Dans le sac à dos (on n’a plus de sac à main), pas de livres en ce moment. Un carnet sur lequel on écrit à chaque occasion possible.
Le soir, en alternance, Le roman de Tolstoï, de Vladimir Fédorovski et Trois poètes de leur vie, Stendhal, Casanova, Tolstoï, de Stefan Zweig. On ne lit que la partie sur Tolstoï.
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Livres du matin / du sac à main / du soir.
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Le matin, Le bonheur, sa dent douce à la mort de Barbara Cassin, une autobiographie philosophique. Le titre est un vers de Rimbaud…
Dans le sac à main, Rythmes d’Andrée Chédid qu’on ne cessera jamais de lire.
Le soir, Le monogramme de perles de Josephine Tey, so british et une merveille qu’il a fallu sortir du magasin de la médiathèque, Journal champêtre d’Edith Holden, fac-similé d’un cahier écrit à la main et orné de dessins de fleurs, d’oiseaux, de papillons.