Avoir le temps de lire deux fois Le berger de l’Avent, de Gunnar Gunnarsson pendant qu’on poireaute dans une salle d’attente puis de se replonger dans La mer lumière de Pedro Salinas resté au fond du sac à dos pour les cas de pénurie de lecture.
Admirer, sur la terrasse, les jolies fleurs des crassulacées et prévoir de rentrer les bruyères.
Faire les vitres : vaporiser du vinaigre blanc et essuyer avec du papier journal.
S'inscrire à la nouvelle médiathèque de Toulon, suivant le principe qu'on n'a jamais assez d'inscriptions à des bibliothèques ou médiathèques.
Préparer des carottes anciennes au four. Des blanches, des jaunes, des roses très foncées dont le cœur est joliment orange.
Ramasser du romarin en fleurs, et du thym aussi.
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Moisson.
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Livre du matin / Livre du sac à main / Livre du soir.
Le matin, toujours Printemps silencieux, de Rachel Carson et Ce qui n’a pas de prix, d’Annie Le Brun (voir ici).
Dans le sac à main, l’inépuisable La voix qui t’est due, de Pedro Salinas et le numéro de septembre du Magazine Littéraire.
Le soir, Kristina Ohlsson, La fille au tatouage, en alternance avec Marguerite Yourcenar, Nouvelles orientales.