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anselm grün

  • Trésor.

    Ranger la bibliothèque car les livres vont et viennent. On les sort des rayons, on les feuillette, on les pose sur une table, on les descend dans la salle, on les emmène dans le sac à dos ou le sac à main. On en amène de nouveaux qu’on lit, qu’on annote, qu’on relit et qu’on se décide à mettre enfin sur une étagère à l’endroit qui semble leur convenir : roman, poésie, religion, histoire, art, …
    Au moment où on range Ma vie dans monts, d’Antoine Marcel, près de Thich Nhat Hanh, Edward Abbey, John Haines, Paolo Rumiz, Anselm Grun, d'autres encore et surtout l’incontournable Sue Hubbell, on le feuillette pour retrouver cette jolie phrase qu’on y avait soulignée :

    « Lorsque votre lecture fait vivre un livre, ce n’est plus ce volume inerte au milieu des volumes poussiéreux de la bibliothèque, c’est un trésor. »

  • Phrase à méditer : les valeurs apparentes.

    C’est encore une phrase d’Anselm Grün qui vient clore la semaine. Elle est revenue en mémoire après qu’on ait parlé avec une amie qui vit des difficultés.

    « Bien souvent, nous pensons déchoir en renonçant à notre travail, notre vitalité, nos missions, notre importance. Le taoïsme (…) nous enseigne ceci : notre véritable valeur se fait jour après que nous ayons pris congé de toutes les valeurs apparentes. »

    Anselm Grün, L’art de bien vieillir, page 62.