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  • Quand on veut, on peut.

    Tomber par hasard sur une interview de Charles Aznavour.
    Au lieu de continuer à étendre le linge, s’arrêter, écouter, puis finir par s’asseoir pour être encore plus attentive.
    L’écouter parler de son enfance, de ses parents, de sa mère qui a perdu toute sa famille durant le génocide arménien, sauf sa grand-mère, de ses amis, de l’éducation qu’il a reçue, de ses engagements actuels, de la distinction à faire entre misère et pauvreté.
    Une fois l’interview terminée, reprendre l’étendage du linge en repensant à ses mots dits à la fin : « Quand on veut, on peut. Je ne savais pas parler français, j’ai appris à parler français. Je ne connaissais pas la musique, j’ai appris la musique. Je ne savais pas faire d’arrangement (en musique), j’ai appris à le faire. Quand on veut, on peut ».

  • Passer la soirée avec Brunetti.

    Passer la soirée à lire le dernier roman de Donna Léon, Le garçon qui ne parlait pas.
    Suivre Brunetti dans Venise : aller et venir de campo en fondamenta, passer des ponts, prendre un café, dévorer un tramezzino, etc etc, comme on le fait quand on va à Venise ; d’ailleurs, tout au long de la lecture, on y est vraiment.