Commencer la marmelade d’oranges amères.
Ecouter Boris Cyrulnik parler. Comme à chaque fois, être émue tellement sa parole si claire ouvre des horizons.
Remarquer qu’Avec la vieille dame poursuit son chemin. Un exemplaire vient d’être acheté à Orléans où on n’a jamais mis les pieds et où on ne connaît personne… Qui sont-ils, ces lectrices et lecteurs ? Comment ont-ils rencontré ce livre ?
Ecrire du courrier et aller le poster.
Se régaler de la lecture d’un roman d’Elizabeth Von Arnim : Les aventures d’Elizabeth à Rugen.
Demander gentiment mais fermement à quelqu’un dont c’est l’habitude, de cesser immédiatement de râler. Ce quelqu’un s’arrête, non parce qu’il est soudainement convaincu de l’inutilité de ses plaintes, mais plutôt par surprise en raison du ton employé. On n’hésitera pas à recommencer.
Marcher le long de la mer, rentrer à la maison, faire du thé, écrire.
- Page 7
-
-
Une phrase à méditer : Kazantzakis.
En lisant un article sur un livre de Kazantzakis, c’est chouette de trouver une belle citation de lui qui complète le poème publié hier ici. Merci à tous pour vos si gentils commentaires mais ne soyez pas inquiets pour moi car je vais bien : ce poème a été écrit pour une personne qui vit des moments difficiles.
Voici la citation de Kazantzakis :
« Je choisi le chemin qui monte, parce que c’est vers le haut que me pousse mon cœur. Plus haut, plus haut plus haut !, crie mon cœur, et je le suis avec confiance. » (1)
Nikos Kazantzaki, L’ascèse, Aux forges de Vulcain, 2013