Lectures : "Les Maia", d’Eça de Queiroz ; un gros roman, bien lourd, bien long, avec un très grand nombre de personnages, une histoire, deux histoires, plein d’histoires ; "Bernanos, la colère et la grâce", de François Angelier.
Rencontres : Un crapaud, un hérisson, des escargots encore, quelques rouge-gorge et mésanges et d’autres oiseaux qu’on ne sait pas nommer, des amandiers en fleurs et des mimosas qui commencent à se lasser de l’être, la Lune dont le croissant s’affine à chaque nouvelle nuit, de nombreux bourgeons et puis, dans un coin, un fragon encore tout décoré de ses petites boules rouges comme du temps de Noël, les jolies fleurs de l’arbre de Jade, des iris bien hauts et tout aussi violets que ceux de Van Gogh, des tas de pâquerettes, vraiment très nombreuses, mais moins que les jolis pissenlits, etc.
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Eça de Queiroz, Bernanos, diverses rencontres.
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Lectures, sur la plage.
Lectures : 202, Champs-Elysées d’Eça de Queiroz (traduction de Marie-Hélène Piwnik) et Hamish MacBeth Ménage de Printemps de M. C. Beaton.
202, Champs Elysées est à lire, vraiment. C’est très bien écrit et plein d’humour : ce Jacinto aux prises avec le modernisme de son époque, encombré de tout un tas de nouveautés sensées lui faciliter la vie, comme aujourd’hui tous nos objets connectés !
Sur la plage : Ramasser du bois flotté. Un bois a la forme d’une petite fronde, comme celle de David contre Goliath. On revient toujours à cette symbolique du fragile et du petit qui peut être finalement très fort.