Prendre le temps de se reposer et de faire les choses les unes après les autres.
Chemin de la Morvenède, à Sanary, cueillir plusieurs branches de genêts.
Passer à l’Aquarelle des Saveurs refaire provisions d’épices : curcuma, maca, vanille, et poivre.
Récupérer des pousses de diverses porcelaines et crassulas.
Apprendre à quelqu’un à faire une pâte à tarte maison : 250 gr de farine, 125 gr de beurre, un demi-verre d’eau. Bien mélanger. Bien travailler la pâte. Former une boule. Laisser reposer. Fariner légèrement le plan de travail. Etendre avec un rouleau à pâtisserie en bois. Plier la pâte en quatre pour la poser sans la déchirer sur le plat à tarte. Couper les bords qui dépassent et en profiter pour faire des petites tartelettes aux fruits rouges qu’on fera cuire en même temps que la quiche. Piquer la pâte avec une fourchette. Garnir. Et voilà.
Brosser les chats.
Alors qu’il pleut, poursuivre la lecture de la correspondance des Sœurs Brontë.
Marcher le long de la corniche de Tamaris.
Marcher le long de la plage des Sablettes.
Marcher les pieds dans l’eau.
Retrouver, en rangeant la bibliothèque, un livre de Khrisnamurti : Le sens du bonheur.
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Phrase à méditer : les valeurs apparentes.
C’est encore une phrase d’Anselm Grün qui vient clore la semaine. Elle est revenue en mémoire après qu’on ait parlé avec une amie qui vit des difficultés.
« Bien souvent, nous pensons déchoir en renonçant à notre travail, notre vitalité, nos missions, notre importance. Le taoïsme (…) nous enseigne ceci : notre véritable valeur se fait jour après que nous ayons pris congé de toutes les valeurs apparentes. »
Anselm Grün, L’art de bien vieillir, page 62.